Il y a quatre mois, jour pour jour, mon roman Les pavés du pardon est sorti aux éditions Brandon. Avant le raz de marée de la rentrée littéraire, avant la succession des grands prix de l’automne, et bien avant la bousculade d’avant Noël en librairies.
Je craignais que le roman passe inaperçu et de ne pouvoir trouver de relais médiatique nulle part. Surtout, j’espérais voir quelques lecteurs et lectrices séduits par le récit.
Alors, depuis le 21 août, quels sont les résultats ?
Quelle réception a été faite aux Pavés du pardon ?
Quels efforts ai-je dû fournir pour parvenir à ces résultats ?
Je consacre donc cette newsletter de reprise à ces questions, et mes réponses devraient fournir un éclairage utile à d’autres. Enfin, je l’espère, car de très nombreux auteurs — autoédités ou publiés à compte d’éditeur — se retrouvent aujourd’hui démunis quant à la promotion sur la durée de leur ouvrage.
Non, tout ne se joue pas sur les trois premières semaines et heureusement !
L’éclat des premières semaines, entre chroniques littéraires et avis de lecteurs
J’ai eu la joie et le plaisir de voir Les pavés du pardon chroniqués par non pas un, mais deux médias dans le premier mois suivant sa sortie.
La chronique de Pierre de Montalembert d’Esse d’abord pour le Club de Littérature de Sciences Po Alumni, puis celle de Marceline Bodier pour 20minutes.fr.
Bonus, Les pavés du pardon se trouvent depuis quelques jours dans la sélection des livres de Noël 2023 d’Émile, magazine de Sciences Po Paris.
Le roman a aussi été chroniqué par deux influenceuses littéraires d’envergure et pleine d’humanité.
Des résultats donc, et conséquents — à mon échelle — pour un début !
Mais quels efforts ont été fournis pour les obtenir ? Existe-t-il des bonnes pratiques ?
À suivre dans la prochaine newsletter, d’ici peu…
J’étais déjà moins présente depuis quelques mois en raison d’un nouveau travail et, ces dernières semaines, j’ai même été entièrement absorbée par de gros soucis personnels. Je suis auteur me tient toujours autant à coeur mais je vis actuellement une période qui exige de ne placer en priorité que l’essentiel. Alors je m’y astreins, convaincue que je reprendrai de plus belle en 2024.
Passez tous et toutes de belles fêtes de fin d’année,
Raphaëlle Béguinel